résidences inter-générationnelles
Je me demande depuis le début, dans une amélioration morale de la Mdr, si la venue, et le logement de quelques personnes "étrangères" dans un lieu comme celui ci ne seraient pas bénéfiques pour tout le monde, tant aux points de vue des résidents, du personnel et des bénéficiaires des chambres. Je me suis imaginée que des étudiants, puisque nous sommes dans une ville très étudiante, pourraient faire appel et demander une petite chambre dans une Mdr; comme il y a des résidences universitaires, il y auraient aussi quelques chambres réservées en Mdr pour des étudiants.
Le mois que l'on vient de passer sur place apporte quelque chose de positif aux résidents, nous sommes devenues deux personnes résidentes, qui vont qui viennent, qui leur racontons un peu nos journées, nos projets, qui les aidons quand on peut. Ils nous voient dans l'établissement, aux étages, nous ne sommes pas du personnel, nous sommes là presque comme eux, en résidence, ou encore, en visite, mais prolongée.
Ils se sont habitués à nous, comme nous à eux. C'est un échange très fort qui se passe, et surtout naturel. Fini la vision des vieux et des jeunes, il y a juste un échange qui se crée. Fini les barrières, et cette nécessité de regrouper par états ou âges, finalement cela crée un ouverture tant vers le monde extérieur que dans l'esprit des nouvelles générations. C'est bien cela qui manque, franchir le pas d'une maison de retraite sans penser à la mort, sans penser à la maladie, faire de ce lieu, un voie de passage, et d'échanges, et ne plus prendre les personnes âgées pour des aliens!
J'ai lu je ne sais plus où, que maintenant, il y a des familles qui recherchent des personnes âgées disponibles en guise de grands-parents pour leurs enfants, pour qu'il y ait une transmission orale différente, un lien qui se crée entre des petits enfants et des grands parents, des conseils et des points de vue différents des parents. C'est un vide immense que de ne pas cotoyer des personnes âgées, et on le ressent de plus en plus dans nos sociétés actuelles.
Le mois que l'on vient de passer sur place apporte quelque chose de positif aux résidents, nous sommes devenues deux personnes résidentes, qui vont qui viennent, qui leur racontons un peu nos journées, nos projets, qui les aidons quand on peut. Ils nous voient dans l'établissement, aux étages, nous ne sommes pas du personnel, nous sommes là presque comme eux, en résidence, ou encore, en visite, mais prolongée.
Ils se sont habitués à nous, comme nous à eux. C'est un échange très fort qui se passe, et surtout naturel. Fini la vision des vieux et des jeunes, il y a juste un échange qui se crée. Fini les barrières, et cette nécessité de regrouper par états ou âges, finalement cela crée un ouverture tant vers le monde extérieur que dans l'esprit des nouvelles générations. C'est bien cela qui manque, franchir le pas d'une maison de retraite sans penser à la mort, sans penser à la maladie, faire de ce lieu, un voie de passage, et d'échanges, et ne plus prendre les personnes âgées pour des aliens!
J'ai lu je ne sais plus où, que maintenant, il y a des familles qui recherchent des personnes âgées disponibles en guise de grands-parents pour leurs enfants, pour qu'il y ait une transmission orale différente, un lien qui se crée entre des petits enfants et des grands parents, des conseils et des points de vue différents des parents. C'est un vide immense que de ne pas cotoyer des personnes âgées, et on le ressent de plus en plus dans nos sociétés actuelles.
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